L’eau de la rivière coulait doucement dans les champs Élisée. Les amoureux s’embrassait et les oiseaux chantaient de merveilleuses mélodies douce à l’oreille. Je me trouvais parmi c’est gens qui partageais tous leur amour mais moi je n’étais qu’une femme sèche comme les temps de sécheresse. En m’abreuvant avec la source de la rivière, un regard d’ange m’observait du coin de l’œil. Après quelques secondes, cette être disparu dans le parfum de l’été. Malgré certaine recherche, je n’ai jamais revu l’homme mystérieux. Qui était t’il, que me voulait t’il?
Dans ma demeure où mes parents me gardait enfermer, je regardais par la fenêtre en souhaitant de revoir son tendre visage. Peur de ne plus le revoir, je versa une larme qui coula sur ma joue sec. Sous un éclat de lune, il apparut sur mon balcon vêtu d’une cape couvrant son visage. Ne voulant plus le perdre je l’ai prit par la main et le suivit. À se moment des éclaires brouilla ma vue et l’homme de ma vie disparu encore devant moi..
Soudain, j’ouvris les yeux perdu dans mes émotion. Je chercha du regard l’endroit où je me trouvait. Aucun rayon de lune effleura ma peau si douce. Moi, je constata vite faite que j’étais dans un orphelinat.
J’étais si bien dans ce rêve. Quel monstre ma rêver dans un monde où vit les gens que j’aime. J’avais beau me dire que je faisais un cauchemar mais mes parents étaient belle et bien mort. Un incendie à entraîner la mort de ma famille. Personne pour m’accueillir dans leur bras je vais passé le reste de ma vie à l’orphelinat.
Cette prison au quel on enferme les enfants pour leurs montrer à quelle point la vie est cruelle. Nous sommes des esclaves qui essayons de s’échapper jour à près jour pour être libre. La seule chose qui m’Aide à me tenir en vie est mon imagination.
En regardant le haut de ma cellule je vis une femme s’approcher de moi. Elle tenait en main une seringue pour m’injecter leur produit toxique. Plus elle approchait de moi plus je reculais en lui disant des injures que personne n’avait encore eu le culot de dire. Plusieurs homme voulu m’attraper pour me mettre cette chemise grise et qui ne m’inspirais pas confiance. J’avais beau me débattre mais ils étaient plus nombreux que moi. Une fois que j’avais enfiler cette chemise de malheur qu’on appelait « camisole de force », on m’injecta se poison avec le quel je faiblissais. A cause de mon imagination je m’imaginais tout dangereux.
Me revoilà dans les champs Élisée et j’entendait encore la douce mélodie des oiseaux adoucir mon ouïs.
Le revoilà qu’il me regardait avec son sourire angélique. Avant qu’il ne disparaisse, j’ai eu le temps d’apprendre à le connaître. Son nom était Roméo comme le personnage de William Shakespeare dans la plus merveilleuse histoire de Roméo et Juliette. Il avait a peu près mon âge et j’ai peu découvrir son visage. Je crois qu’il était sculpté par les dieux tellement qu’il était beau. Je pouvais voir son regard perdu au travers ces yeux bleus. La seul phrase qui me disait au creux de l’oreille fut : Suis ta voix où elle te mènera sera le mieux pour toi. Sans comprendre ces paroles je fit signe que oui et je me suis dis que je le saurais en temps et lieux. Quand mes lèvres on toucher les siennes, je disparu dans le monde réelle.
À mon réveiller dans ce centre pour les fous, je ne voulais qu’abolir se monde avec tant de cruauté. Il n’y avait aucun détour à faire et je n’avais que ce choix mortel. La vie ou à la mort quel choix intrigant. Pour vous c’est la vie et pour moi c’est la mort. Ne me poser aucun question car voilà que mon choix était faite.
Le temps ne contait plus, je devais quitter cette asile de fou. Je voulais absolument retrouver mon beau Roméo. Le seul moyen de partir était de me droguer avec des pilules qui sont très dangereuse. Quand mon ami me les a donner en main propre, je me suis sentit mal car je n’avais jamais prit mais je n’avais plus le choix. Une fois dix heures sonner, c’était le couvre feu. J’ai prit les comprimer dans ma main et je les ai envaler . Je me sentait normal mais au moment où j’ai commencer à marcher, je me suis sentit molle comme du jello. J’avais les yeux lourd aussi lourd que mon propre corps. Mon souffle diminuait doucement petit coup par petit coup. Plus capable de me supporter, je me suis écrouler sur le sol de ma cellule.
Quelques mois plus tard, j’étais sur allonger sur un lit d’hôpital où que j’étais brancher après des millions de files. Je survivais grâce au machine. J’avais cru comprendre que système nerveux avait déclencher un anomalie que mes anti-corps ne pouvait tuer. J’avais enfin arriver à destination. Je ne voyais qu’une lumière blanche qui s’approchait. C’étais le moment dont Roméo me parlait. Est ce que j’allais suivre ma voix et aller retrouver mon roméo et ma famille ou je restais sur terre à souffrir dans un centre. Le choix était évidant pour moi mais je ne savais plus quoi faire. La vie ou la mort la est la question.
